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Sans le secours de ces messieurs
- "Est-ce que votre fille ne peut pas bien mourir, sans le secours de ces messieurs-là?"
- L'Amour médecin, II, 1
La même plaisanterie figure dans l'épître dédicatoire qui introduit Le Médecin volant de Boursault (achevé d'imprimer : 14 janvier 1665) :
- Souffrez que je vous avertisse, de peur d'équivoque, que je n'estime la médecine qu'en ce qu'elle peut être utile à la conservation ou au recouvrement de ma santé, parce que je mourrai bien sans le secours de personne, et particulièrement de votre faculté.
- (p. 14)
Elle connaît une variante dans la formule "sans l'ordonnance du médecin".
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