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Psyché
Autour de Psyché
Psyché
- PROLOGUE
- La mer en éloignement
- Flore
- Palémon, Dieu des eaux
- Ce n'est plus le temps de la guerre
- Venez nous donner de beaux jours
- Mais la douceur achève de charmer
- De si rares honneurs ne m'appartiennent pas
- Et Vénus n'est plus à la mode
- Il ne m'en est resté que deux des plus petites
- Souffrez que ces demeures sombres
- moins se mettre en courroux
- ils ne sauraient louer
- D'aimer et n'être point aimée
- Dans le Monde on n’entend que plaintes de l’Amour
- ACTE I
- Ordres d'architecture
- Scène 1
- Laissons, laissons parler mon chagrin et le vôtre
- Ce secret, de tout enflammer
- A moins que l'on se jette à la tête des hommes
- L'espoir, plus que l'amour, est ce qui les attire
- Aux deux princes qui sont les derniers arrivés
- Je trouve qu'on pourrait rechercher leur tendresse
- Scène 2
- deux parfaits amis
- choisit-on qui l'on veut aimer
- En vérité je plains les fâcheux embarras
- Tout ce que ses yeux vous promettent
- Que les soudains retours de son âme inégale
- Scène 4
- Ne craignez que pour vous, c'est vous que l'on doit plaindre
- Madame, et qu'on vous laisse apprendre de sa bouche
- Scène 5
- l'oracle que les destins ont rendu
- Scène 6
- Mais vous, que sentez-vous, ma sœur?
- PREMIER INTERMEDE
- Rochers affreux
- Une troupe de personnes affligées y viennent déplorer sa disgrâce.
- ACTE II
- Scène 1
- De vos larmes, Seigneur, la source m’est bien chère
- Qui dans le cœur d'un roi montrent de la faiblesse
- ma Fille, à ces pleurs laisse mes yeux ouverts
- l'effort en est barbare
- La constance est facile en mille occasions
- il vous reste de quoi consoler
- ils viennent les retirer
- De la rigueur du Ciel je veux toujours me plaindre
- Scène 2
- D'une tendre amitié souffrez ce dernier gage.
- Un oracle jamais n'est sans obscurité
- Scène 3
- enfin seule et toute à moi-même
- Mon âme restait libre en captivant tant d'âmes
- Scène 4
- Vivez, belle princesse, et vivez pour un autre
- mon coeur abattu
- Scène 5
- Allez mourir, rivaux d'un dieu jaloux
- SECOND INTERMEDE
- Palais pompeux et brillant
- Cyclopes
- Fées
- gros vases d'argent
- Vulcain
- Dépêchez
- ACTE III
- Scène 1
- Vous reconnaître pour l'Amour
- Sous des déguisements de diverses natures
- Qui ne demande rien d'enfant
- Qui n'aiment point de grands enfants
- Les soupirs, la bouche et les yeux
- Scène 2
- Monstre qui dois me déchirer
- Scène 3
- Le voilà ce serpent, ce monstre impitoyable
- Un je ne sais quel feu que je ne connais pas
- J'ai senti de l'estime et de la complaisance
- Et cependant c'est moi qui vous le dis
- Croyez, belle Psyché, croyez ce qu'ils vous disent
- Vous ne me donnez pas, Psyché, toute votre âme
- Je le suis, ma Psyché, de toute la nature
- Allons voir cependant ces jardins, ce palais
- TROISIEME INTERMEDE
- Amours et Zéphyrs
- aimable jeunesse
- ACTE IV
- plusieurs vases d'orangers
- Scène 1
- j'ai vu trop de merveilles
- Zéphire vole aux ordres qu'elle donne
- C'est un bonheur si haut, si relevé
- Scène 2
- Peut-être ce Palais n'est qu'un enchantement
- Scène 3
- J'en jure par les Dieux
- je suis le Dieu le plus puissant des Dieux
- Qui de mes propres traits m'était blessé pour vous
- une vaste campagne
- Scène 4
- Le souvenir m'en charme et m'empoisonne
- Source de tous les biens inépuisable et pure
- Scène 5
- les encens qu'aux miens seuls on doit rendre
- Idolâtrer en vous la beauté souveraine
- Laissait charmer des yeux qui ne vous voyaient pas?
- Jusques aux Cieux a porté de son choix
- QUATRIEME INTERMEDE
- les Enfers
- Furies
- ACTE V
- Scène 1
- Mégère et ses sœurs
- Scène 2
- est-ce vous que je vois?
- l'un et l'autre emportés
- Dans des bois toujours verts, où d'amour on respire
- L'amour, par les Zéphyrs s'est fait prompte justice
- Scène 3
- Mais ce que j'ai souffert m'a trop défigurée
- Quelles vapeurs m'offusquent le cerveau
- Scène 4
- Je ne percerai plus de cœurs
- Craignez à votre tour l'effet de ma colère
- Scène 5
- Je ne suis plus enfant, et je l'ai trop été
- vous me devez la naissance
- ces droits de la naissance
- Scène dernière
- D’un Dieu de douceurs et de joie
- Avec ces pointes d'or qui me font obéir
- Afin d'y rendre tout égal
- Deux grandes machines
- la fête des noces de l’Amour
- Deux Muses
- Silène
- Mome
- Polichinelle
- Matassins
- Et dans la guerre il fait merveille
- La raillerie est nécessaire
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