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Oh, oh, je n'y prenais pas garde
- "Oh, oh, je n'y prenais pas garde,
- Tandis que sans songer à mal, je vous regarde,"
- Les Précieuses ridicules, sc. IX.
Le même vers apparaît au début d'un madrigal que Montreuil insère dans une lettre, publiée au sein de ses Oeuvres de 1666 :
- Oh, oh, je n'y prenais pas garde,
- Ceci sent sa lettre d'amour
- Tout ce que j'en ai dit, ce n'est que par mégarde.
- (p. 382)
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