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Je croyais Jeanneton


"Je croyais Janneton
Aussi douce que belle;
Je croyais Janneton
Plus douce qu'un mouton:
Hélas! hélas!
Elle est cent fois, mille fois plus cruelle,
Que n'est le tigre aux bois."
Le Bourgeois gentilhomme I, 2

Cette chanson de Pierre Perrin avait été publiée dans le Nouveau recueil des plus beaux airs de cour (1666), p. 255.

Le héros de la comédie O fidalgo aprendiz (1665) de Manuel de Melo affichait sa préférence pour les danses simples et populaires au détriment des danses à la mode à la cour :

G. Pois Meftre, que mais fabeis ?

M. Huá Alta, hum Pé dexibáo.
Galharda, Pavana rica ;
eneftas,nouas mudanças;

G. Tende, que isso naõ faô danças
senaô couzas debotica.
sabeis o Capateado ?
o Terollero ? o villaõ ?
o Mochachim ?

M. Senhor naõ.

G. Pois sois Meftre muy minguado.
(p. 358)




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