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Je crains un peu ce que vous savez


"J’ai dessein de prendre une femme, pour me tenir compagnie dans mon ménage. La personne est belle, et bien faite : elle me plaît beaucoup, et est ravie de m’épouser. Son père me l’a accordée ; mais je crains un peu ce que vous savez, la disgrâce dont on ne plaint personne"
Le Mariage forcé, sc. IV

A la fin de ses Nouvelles nouvelles (1663), Donneau de Visé promettait la parution prochaine d'un ouvrage intitulé Le Bien et le Mal de ce que l’on craint, Histoire plus comique que sérieuse, utile à toutes les personnes mariées et à toutes celles qui ont dessein de se marier.




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