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Ce coup mortel


"Percé du coup mortel dont vous m'assassinez,
Mes sens, par la raison, ne sont plus gouvernés"
Le Misanthrope, IV, 3, 1311-1312

Au dernier acte d'Héraclius (1647) de Pierre Corneille, Héraclius s'adressait à Pulchérie en ces termes :

Et mon coeur, qui sans cesse en sa faveur se flatte,
Cherche qui le soutienne, et non pas qui l'abatte :
Il demande secours pour mes sens étonnés,
Et non le coup mortel dont vous m'assassinez.
(V, 2, p. 102)




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