Content-Type: text/html; charset=UTF-8
Amphitruo
- Michel de MAROLLES, "L’Amphitryon", M. Acci Plauti comoediae in quattor tomos digestae, ex recognitione Francisci Guieti Andini, opera et studio Michaelis de Marolles, abbatis de Villeloin, cum ejusdem interpretatione gallica, Paris, Pierre l'Amy, 1658, p. 1-69
Molière s'est servi de cette traduction de l'Amphitruo de Plaute, en même temps que de la comédie Les Sosies de Rotrou, pour composer son Amphitryon.
La même traduction servira également à L'Avare, tiré de l'Aulularia.
Les principaux points de rencontre entre l'Amphitruo (dans la version de Marolles) et son homologue moliéresque sont indiqués ci-dessous.
- la lanterne
- marcher à l'heure qu'il est
- par une nuit si noire
- à quelle servitude
- châtier cette insolence
- devant notre maison
- où s'adressent tes pas
- je veux savoir
- tout cela n'est encore rien
- m'empêcher d'entrer chez nous
- es-tu Sosie encor
- signons une trêve
- je ne puis m'anéantir
- ne sens-je pas que je veille
- du port persique
- maintenant que je le considère
- il me semble que je suis moi
- ce que j'ai fait tout seul
- s'il n'était dans la bouteille
- quand je ne serai plus Sosie
- blâmé dans la bouche publique
- réponds mot pour mot
- vous êtes le maître
- à force de trop boire
- deux gouttes de lait
- ce galimatias maudit
- interdit notre porte
- de qui puis-je tenir la nouvelle
- tendrement je vous embrassai
- nous nous fûmes coucher
- ce qui n'était que jeu
- à la fin je suis là?
- je veux la retâter
- as-tu peur que je ne l'oublie ?
- si tu fais la moindre instance ?
- quel est le cabaret ?
- toi, mon maître ?
- les plaisirs qu'il goûte
- quel peut être son crime
- éclaircir toute cette aventure
- qui frappe en maître où je suis ?
- l'autre est un imposteur
- Amphitryon contre lui-même
- un partage avec Jupiter
- Le Sicilien
- s'avise de courir maintenant les rues
- Il fait noir
- sotte condition
Sommaire | Index | Accès rédacteurs